le 14 mars 2024, sur la stèle des Fusillés de La Madeleine, commune de Villeneuve-lès-Maguelone, sous la présidence de François-Xavier LAUCH, préfet de de l'Hérault, des élus, des autorités civiles et militaires, des présidents des associations patriotiques et des représentants des Ordres nationaux avec leurs porte-drapeaux, s'est tenue une cérémonie à la mémoire des 16 Résistants fusillés entre le 14 mars et le 10 juillet 1944.
Neuf par un peloton de GMR (Groupe Mobile de Réserve) après jugement par la Cour martiale de la Milice de Montpellier, les sept autres par des Allemands, jugés par le tribunal militaire OFK 894 de Nîmes.
La butte du stand de tir de La Madeleine située dans la garrigue en arrière de la stèle, a été utilisée pour l’exécution de ces résistants provenant de divers départements de la R3 et jugés :
— soit par la Cour martiale de la Milice de Montpellier – Cour martiale de la Milice 2, dénomination courante que nous reprenons dans cette notice alors qu’il conviendrait plutôt d’utiliser la terminologie officielle de « Cour martiale du secrétariat d’État au Maintien de l’ordre » qui montre bien le caractère étatique de cette juridiction qui officiellement n’avait pas de lien organique avec la Milice ;
— soit par le tribunal militaire allemand OFK 3 894 de Nîmes.
Lire l'article d'André BALENT sur le sujet
Voir les photos de la cérémonie
Crédit photo Yvan Marcou - Ludovic Severac
Neuf par un peloton de GMR (Groupe Mobile de Réserve) après jugement par la Cour martiale de la Milice de Montpellier, les sept autres par des Allemands, jugés par le tribunal militaire OFK 894 de Nîmes.
La butte du stand de tir de La Madeleine située dans la garrigue en arrière de la stèle, a été utilisée pour l’exécution de ces résistants provenant de divers départements de la R3 et jugés :
— soit par la Cour martiale de la Milice de Montpellier – Cour martiale de la Milice 2, dénomination courante que nous reprenons dans cette notice alors qu’il conviendrait plutôt d’utiliser la terminologie officielle de « Cour martiale du secrétariat d’État au Maintien de l’ordre » qui montre bien le caractère étatique de cette juridiction qui officiellement n’avait pas de lien organique avec la Milice ;
— soit par le tribunal militaire allemand OFK 3 894 de Nîmes.
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Crédit photo Yvan Marcou - Ludovic Severac
Photo Ludovic SEVERAC