Le mercredi 26 juin, à 17h, une cérémonie s'est déroulée en l’honneur du Dr Farida Djouad Samri, directrice de recherche à l’Inserm, dans l'amphithéâtre d'anatomie de la faculté de Médecine, en présence de Mme Isabelle LAFFONT, Doyenne de la faculté de Médecine, du Pr Jacques MERCIER, vice-président en charge de la recherche de l'UM, du Pr Christian JORGENSEN, PU-PH, directeur IRMB, directeur IHU et d'un nombreux public.
Elle a reçu l’insigne de chevalier dans l’ordre national du Mérite des mains de M. Patrick Sandevoir, président national des membres de l’ordre national du Mérite en présence d'Yvan MARCOU, président départemental de l'ANMONM et du porte-drapeau départemental François LEHEUP.
Cette distinction honorifique, décernée par le Président de la République, vient saluer les contributions exceptionnelles du Dr Farida Djouad Samri dans le domaine de la recherche biomédicale.
Originaire du quartier des Escanaux à Bagnols-sur-Cèze, Farida Djouad Samri a su, grâce à son travail acharné et sa détermination, se hisser au rang des plus grands chercheurs français. Ses travaux pionniers sur la thérapie cellulaire et l’ingénierie tissulaire ont ouvert de nouvelles voies pour le traitement de maladies auto-immunes et dégénératives. Ses recherches ont largement contribué au rayonnement scientifique de la France à l’international.
Elle a reçu l’insigne de chevalier dans l’ordre national du Mérite des mains de M. Patrick Sandevoir, président national des membres de l’ordre national du Mérite en présence d'Yvan MARCOU, président départemental de l'ANMONM et du porte-drapeau départemental François LEHEUP.
Cette distinction honorifique, décernée par le Président de la République, vient saluer les contributions exceptionnelles du Dr Farida Djouad Samri dans le domaine de la recherche biomédicale.
Originaire du quartier des Escanaux à Bagnols-sur-Cèze, Farida Djouad Samri a su, grâce à son travail acharné et sa détermination, se hisser au rang des plus grands chercheurs français. Ses travaux pionniers sur la thérapie cellulaire et l’ingénierie tissulaire ont ouvert de nouvelles voies pour le traitement de maladies auto-immunes et dégénératives. Ses recherches ont largement contribué au rayonnement scientifique de la France à l’international.