Les compagnons du secteur 3 de la section de l’Hérault de l’ANMONM avec les membres d'une association amie, ont visités le jeudi 21 novembre 2024 la nouvelle exposition "Senteurs célestes, arômes du passé. Parfums et aromates dans l'Antiquité méditerranéenne" au Site archéologique Lattara musée Henri Prades de Montpellier Méditerranée Métropole.
En latin, en égyptien ou en grec ancien, il n’existe pas de mot pour désigner le parfum. Les termes employés, qui pouvaient être connotés aussi bien positivement que négativement, signifient plutôt odeur.
À partir de la documentation archéologique et historique, l’exposition présente les substances aromatiques employées au cours de l’Antiquité en Égypte, en Grèce et en Étrurie.
Les aromates étaient alors autant utilisés en médecine qu’en parfumerie et des propriétés curatives, médicinales et rituelles leur étaient attribuées.
Même si ces substances, principalement des onguents, étaient devenues nécessaires à l’hygiène de chacun, voire à la séduction, il n’en reste pas moins qu’elles ont d’abord été utilisées dans le cadre de pratiques cultuelles.
C’est cette histoire olfactive de l’antiquité méditerranéenne que les compagnons du secteur 3 ont pu ainsi découvrir à travers une centaine d’œuvres et des dispositifs sensoriels innovants.
Cette visite s’est clôturée par un repas amical à Port Marianne.
Didier ALRIC
En latin, en égyptien ou en grec ancien, il n’existe pas de mot pour désigner le parfum. Les termes employés, qui pouvaient être connotés aussi bien positivement que négativement, signifient plutôt odeur.
À partir de la documentation archéologique et historique, l’exposition présente les substances aromatiques employées au cours de l’Antiquité en Égypte, en Grèce et en Étrurie.
Les aromates étaient alors autant utilisés en médecine qu’en parfumerie et des propriétés curatives, médicinales et rituelles leur étaient attribuées.
Même si ces substances, principalement des onguents, étaient devenues nécessaires à l’hygiène de chacun, voire à la séduction, il n’en reste pas moins qu’elles ont d’abord été utilisées dans le cadre de pratiques cultuelles.
C’est cette histoire olfactive de l’antiquité méditerranéenne que les compagnons du secteur 3 ont pu ainsi découvrir à travers une centaine d’œuvres et des dispositifs sensoriels innovants.
Cette visite s’est clôturée par un repas amical à Port Marianne.
Didier ALRIC