Lieutenant-colonel Sandra JONJIC, attachée de défense à l'ambassade de Croatie en France, Senka BURIC, chargée d'affaire à l'ambassade de Croatie en France, Jean-François SOTO, maire de Gignac, conseiller départemental, Yvan MARCOU, président de l’ANMONM 34, François COLOMBIER, adjoint au maire, président du Souvenir Français.
L’Ecole joue le rôle essentiel dans l’enseignement de l’Histoire en menant ce travail pédagogique visant notamment à faire acquérir aux élèves les repères de l’histoire à laquelle ils appartiennent, et les valeurs de la République qui fondent leur Ecole.
Mais quel est son rôle dans la transmission de la mémoire à partir de l’Histoire ?
Cette transmission devrait se faire en complément de l’enseignement, selon le niveau scolaire, de l’école, au Lycée en passant par le collège, par des actions éducatives menées dans le domaine de la mémoire, constituant ainsi des moyens privilégiés d’apprentissage par le biais des journées commémoratives, de visites de sites mémoriels, de conférences, de rencontres avec des acteurs de la mémoire comme des anciens combattants pour les périodes plus récentes.
Les enjeux du travail de mémoire Au-delà de l’enseignement de l’Histoire en classe, l’institution scolaire participe à la prise de conscience de la notion de mémoire et par ce fait, à la construction d’une mémoire collective autour de valeurs partagées, contribuant au sentiment d’appartenance commune.
Les acteurs :
Le référent académique « Mémoire-Citoyenneté » est chargé, sous l'autorité du recteur d'académie :
- d'informer les équipes pédagogiques des établissements scolaires sur différentes actions menées dans le domaine de la citoyenneté et de la mémoire qui fait l’objet de ce document, d'encourager la participation des élèves
- d'être le correspondant privilégié de la direction générale de l'enseignement scolaire, ainsi que des professeurs d’histoire des établissements scolaires ;
Les équipes éducatives des établissements scolaires : Avec la participation active du chef d’établissement, le proviseur, qui a pour fonction de soutenir ou d’impulser les projets proposés par le Rectorat en développant un réseau mémoire au sein de son établissement et en encourageant l’émulation de l’équipe pédagogique.
Les partenaires locaux : Office national des anciens combattants et victimes de guerre, associations mémorielles, associations, soit tout organisme intervenant dans le domaine de la mémoire et de sa transmission.
Les actions éducatives : En lien avec l'histoire et la mémoire ces actions favorisent les initiatives collectives ou individuelles au sein de projets pluridisciplinaires portés par les établissements dans le cadre du programme prévisionnel des actions éducatives, défini par la direction générale de l'enseignement scolaireLes sections départementales de l’ANMONM peuvent ici y trouver leur place. La convention-cadre signée avec l’éducation nationale légitime leur action et leur engagement au profit des élèves des établissements scolaires. En liaison avec les référents académiques « mémoire et citoyenneté », les DASEN départementaux, et les directeurs d’établissements, ils peuvent identifier, suivre, encourager et primer des projets ayant trait au travail de mémoire.
Rôle de la commission nationale de la mémoire de l’ANMONM
But et objectifs :
La commission nationale de la mémoire est destinée à planifier et à organiser dans le domaine de la mémoire, les actions à proposer qui seront conduites par les sections départementales en vue d’atteindre les objectifs définis avec des organismes institutionnels, notamment l’Education nationale avec laquelle l’ANMONM est liée par des conventions de partenariat ou l’ONACVG. A l’identique des autres commissions nationales, des prix départementaux et nationaux récompenseront les projets les plus méritants selon un règlement et un échéancier qui seront communiqués annuellement.
Champs d’application du prix national de la Mémoire :
Il conviendra de ne pas être trop réducteur afin d’offrir à toutes les sections une variété de thèmes –supports qui constitue véritablement l’héritage historiographique de notre pays :
- Commémorations majeures à résonnance internationale et nationale : Grands conflits, événements historiques majeurs ;
- Lieux emblématiques nationaux : Ligne Maginot, plages du débarquement, ensembles fortifiés, …
- Hauts lieux de mémoire : Nécropoles, monuments, mémoriaux, …
- Lieux de mémoire qui émaillent l’ensemble du territoire : monuments, musées, vestiges du passé, archives, objets, symboles, institutions, livres, événements…
- Femmes et Hommes qui ont marqué l’histoire nationale comme locale.
Enfin, opportunité devra être offerte aux sections de porter des projets en relation avec des organismes de leur département sur des thématiques mémorielles locales.
Cette diversité doit permettre à toutes les sections de trouver des projets mémoriels à étudier avec les établissements scolaires de leur département.
Le document d'organisation est en téléchargement ci-dessous.
Lire l'article de la remise du Prix de l'Initiative mémorielle 2023 de l'ANMONM 34
Mais quel est son rôle dans la transmission de la mémoire à partir de l’Histoire ?
Cette transmission devrait se faire en complément de l’enseignement, selon le niveau scolaire, de l’école, au Lycée en passant par le collège, par des actions éducatives menées dans le domaine de la mémoire, constituant ainsi des moyens privilégiés d’apprentissage par le biais des journées commémoratives, de visites de sites mémoriels, de conférences, de rencontres avec des acteurs de la mémoire comme des anciens combattants pour les périodes plus récentes.
Les enjeux du travail de mémoire Au-delà de l’enseignement de l’Histoire en classe, l’institution scolaire participe à la prise de conscience de la notion de mémoire et par ce fait, à la construction d’une mémoire collective autour de valeurs partagées, contribuant au sentiment d’appartenance commune.
Les acteurs :
Le référent académique « Mémoire-Citoyenneté » est chargé, sous l'autorité du recteur d'académie :
- d'informer les équipes pédagogiques des établissements scolaires sur différentes actions menées dans le domaine de la citoyenneté et de la mémoire qui fait l’objet de ce document, d'encourager la participation des élèves
- d'être le correspondant privilégié de la direction générale de l'enseignement scolaire, ainsi que des professeurs d’histoire des établissements scolaires ;
Les équipes éducatives des établissements scolaires : Avec la participation active du chef d’établissement, le proviseur, qui a pour fonction de soutenir ou d’impulser les projets proposés par le Rectorat en développant un réseau mémoire au sein de son établissement et en encourageant l’émulation de l’équipe pédagogique.
Les partenaires locaux : Office national des anciens combattants et victimes de guerre, associations mémorielles, associations, soit tout organisme intervenant dans le domaine de la mémoire et de sa transmission.
Les actions éducatives : En lien avec l'histoire et la mémoire ces actions favorisent les initiatives collectives ou individuelles au sein de projets pluridisciplinaires portés par les établissements dans le cadre du programme prévisionnel des actions éducatives, défini par la direction générale de l'enseignement scolaireLes sections départementales de l’ANMONM peuvent ici y trouver leur place. La convention-cadre signée avec l’éducation nationale légitime leur action et leur engagement au profit des élèves des établissements scolaires. En liaison avec les référents académiques « mémoire et citoyenneté », les DASEN départementaux, et les directeurs d’établissements, ils peuvent identifier, suivre, encourager et primer des projets ayant trait au travail de mémoire.
Rôle de la commission nationale de la mémoire de l’ANMONM
But et objectifs :
La commission nationale de la mémoire est destinée à planifier et à organiser dans le domaine de la mémoire, les actions à proposer qui seront conduites par les sections départementales en vue d’atteindre les objectifs définis avec des organismes institutionnels, notamment l’Education nationale avec laquelle l’ANMONM est liée par des conventions de partenariat ou l’ONACVG. A l’identique des autres commissions nationales, des prix départementaux et nationaux récompenseront les projets les plus méritants selon un règlement et un échéancier qui seront communiqués annuellement.
Champs d’application du prix national de la Mémoire :
Il conviendra de ne pas être trop réducteur afin d’offrir à toutes les sections une variété de thèmes –supports qui constitue véritablement l’héritage historiographique de notre pays :
- Commémorations majeures à résonnance internationale et nationale : Grands conflits, événements historiques majeurs ;
- Lieux emblématiques nationaux : Ligne Maginot, plages du débarquement, ensembles fortifiés, …
- Hauts lieux de mémoire : Nécropoles, monuments, mémoriaux, …
- Lieux de mémoire qui émaillent l’ensemble du territoire : monuments, musées, vestiges du passé, archives, objets, symboles, institutions, livres, événements…
- Femmes et Hommes qui ont marqué l’histoire nationale comme locale.
Enfin, opportunité devra être offerte aux sections de porter des projets en relation avec des organismes de leur département sur des thématiques mémorielles locales.
Cette diversité doit permettre à toutes les sections de trouver des projets mémoriels à étudier avec les établissements scolaires de leur département.
Le document d'organisation est en téléchargement ci-dessous.
Lire l'article de la remise du Prix de l'Initiative mémorielle 2023 de l'ANMONM 34